You always You

Je viens de retrouver quelque chose de très personnel, mais ça me tient à coeur de le partager. Plus d’un an après, je pense encore chaque mot…

Lettre du 20 février 2017 :

“Où que tu sois, je pense à toi.

Tu n’existes peut-être pas encore mais une partie de moi ne cesse d’espérer que nous ne sommes plus si loin, d’enfin nous rencontrer. Je vais te paraître folle, mais cela me rassure de t’écrire ces quelques mots, que ces mots sur mes pensées puisse t’aider toi à trouver ton chemin jusqu’à nous. Mais peut-être attends tu le bon moment pour frapper à la porte de notre vie, que les détails aient été pensés, que nous soyons intrinsèquement prêts avant de franchir une porte qui ne se refermera jamais.

Mais soit en sûr(e), j’ai la profonde certitude que je n’attends que toi pour me découvrir, pour que tu m’éclaires de toute ta beauté. C’est comme si nous n’attendions que toi pour passer une étape dans notre bonheur.
Si tu voyais ton père, comme il a peur et hâte à la fois, comme il t’attend lui aussi. Il a même déjà peur que tu t’en ailles, que ton adolescence l’écarte de lui…

Je ne pourrais être plus certaine de l’homme avec lequel je fais ma vie actuellement, et de celle que je veux construire avec lui.

Où que tu sois, nous t’attendons… Ne te presse pas, nous t’attendrons.
Notre amour pour toi n’est que naissant, c’est un graine que nous chérissons chaque jour et qui n’attends que toi pour être arrosée.”

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